La réduction de la dette publique et un manque de croissance peuvent faire croire qu’il n’existe plus d’autre futur que de se serrer la ceinture et de vivre moins bien. Est-ce que la qualité de vie sociale et professionnelle peut progresser avec une croissance économique faible ?
C’est la question que pose le dossier publié par Alternatives Économiques dans son numéro d’avril. Des exemples dans les domaines du logement, de la mobilité urbaine, de la facture énergétique, de la santé, des services, de la consommation, de l’emploi … sont revigorants.
La prospérité sans croissance est possible et le pari de « faire de nécessité vertu » est sacrément tentant.
L’utopie réaliste a tout pour plaire aux militants de l’ESS et la lecture d’avril d’Alternatives Économiques les renforcera dans leurs convictions et engagements.